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Apparence et Services:

Évaluation:

Synthèse : Physique très agréable sans être tout à fait ce que vous avez peut-être apprécié sur les photos. Des massages hors normes. Ultra GFE et bien « coquine » également. La fille est entrée dans mon top 5 direct : y’en a une qui a râlé en se faisant sortir, mais c’est comme ça. Nouvel hôtel, inconnu, dans un quartier bien connu du temps de mes années estudiantines. C’était l’époque où nous nous révoltions pour des idées par pour des ipods …L’époque aussi où on se foutait sur la gueule des deux côtés du Luxembourg, pour les mêmes raisons, mais aussi pour se gonfler auprès des filles. Bref, c’est avec un brin de nostalgie que je frappais à la porte de la chambre de la miss, dans un hôtel de bon standing et suffisamment grand pour ne pas risquer qu’un salarié zélé au service du grand capital ne vienne vous chatouiller avec un brin d’ironie pour savoir où vous allez.. Ma diode perso marquant « very low power », une telle rencontre peut s’avérer risquée : ça passe où ça casse. Soit vous ressortez tel un demi-dieu, soit vous ressortez la queue basse après un rv glauque . La porte s’ouvre, une belle silhouette se découpe difficilement et timidement dans la pénombre. Le décalage avec les photos est là : la vraie girl est un peu plus marquée, un peu moins glamour, mais je retrouvais la grâce que sans doute je cherchais en matant ses photos. La fille doit avoir le 1,65 m annoncé, ses belles jambes remontées par ses high steel shoes sont des pousse-au-crime, ses fesses de petite taille mais bien dessinées et enfermées partiellement par de la dentelle noire d’où s’échappent ses jaretelles s’affirment un cric efficace , son bustier fait ressortir ses poumons de taille moyenne et refaits. Tout se passe en douceur, naturellement, pourtant elle cause pas l’englishe. Je passai le temps de la douche à fomenter ma tactique en fonction des quelques éléments de psychologie glanés au moment de l’ouverture de la porte, du « hello », du « how are you », du « j’te mate tu ‘mates ». J’aime bien les effeuiller debout. Elle me baragouine 2/3 mots de compliments, bref tout son dico perso. C’est charmant. Pré massages savoureux. L’échelle de Richter en branle, les échelons sont gravis tranquillement mais sûrement. Cette fille a du talent. Un superbe équilibre entre GFE/nana (qu’elle n’est sûrement pas, mais dont elle adopte les symptômes avec grand talent). Un régal. Elle aime autant cela que moi. Elle sent que cela va être sa fête, annonce qu’elle prend positivement. Tous ses sens sont à l’affût, elle se laisse aller complètement. L’intellect a lâché, les sens en plein accord ont pris le relai. Elle s’oublie complètement. Elle a des points sensibles d’enfer, des trucs qui la rendent fofolle. Si vous avez le bonheur de les découvrir, elle vous fait comprendre que vous avez tapé dans le mille et en redemande. J’ai cru que nos meilleurs moments étaient passés, que l’exercice allait paraître obligé et standardisé pour retomber tranquillement dans la partie de bon aloi. Mais la grâce appelle la grâce : elle a le talent d’exalter le vôtre. Pour son plus grand bonheur. Mes changements de rythme ont eu raison de son souffle qu’elle pensait avoir récupéré. Dingue. Elle crie ses mots en russe, j’y comprends rien, mais ça me titille. Nous partons ensemble. Le plus dur c’est de retomber sur terre, de retrouver la lumière de la salle de bains. J’y vais, j’en reviens, elle y va, elle en revient. Des pré massages repartent immédiatement. Elle est démente cette fille, infatigable. Son noc (verlan) se souvenait du match aller, alors il s’est pas inquiété quand je me suis occupé de lui d’une toute autre manière : la fille est devenue dingue. L’heure c’est l’heure. J’étais complètement rincé, repu. J’aurais pas aimé être le suivant. Ni Janie, je ne sais pas comment elle a fait. J’espère qu’elle n’a pas enchaîné. Pas eu le courage de lui demander. Fantastique cette fille.